Nous perdrons tous nos combats tant que nous ne serons pas capables de dé-missionner.
Et lorsque on en devient capable, il n’y a plus de "combat". Juste l’aventure de la vie (ou survie des fois) dans l’acceptation de la faim, du froid et de la maladie. La fragilité est notre lot à tous et s’accrocher aux proposition "sécuritaires" (sécurité sociale, sécurité d’emlpoi, sécurité apportée par la loi et la police...) est une erreur fondamentale. C’est la chaine que le soft-power utilise pour nous garder en esclavage. On nous fait croire à une sécurité objective alors qu’on reste mortel et qu’on agonise parfois des années avant d’y arriver...
Il n’y a de sécurité que subjective. C’est un sentiment et non un fait extérieur. Comme tout sentiment, il est en nous et nous en sommes donc les créateurs. Le modifier est sous notre contrôle et sous notre responsabilité. Et c’est faisable (auto suggestion, auto hypnose, hypnose, pnl, sophrologie, sport, méditation...)
Mais nous préferons sous-traiter ce sentiment en accordant notre confiances aux banquiers, toubibs, hommes de lois, publicistes, religieux, employeurs, anxiolitiques, drogues...
...continuer le combat, c’est continuer le combat !
Dé-missionner, c’est s’approcher de la Paix.
Enfin, c’est un avis.