A l’image de nombre de ses coreligionnaires, la girouette ethnique que représente Alain Finkielkraut est symbolique des changements de position qu’adopte sa communauté en fonction de la "zeitgeist", ou - en français - de "l’air du temps".
Si - un jour - il faut défendre l’immigré arabo-musulman contre le "français de souche", pour des raisons de pures stratégies raciales et aussi d’intérêts économiques, ce dernier n’aura aucun scrupule à agir de la sorte.
En revanche, si "l’indigène de la république" ne sert plus les intérêts de sa caste, parce - las d’être manipulé comme une vulgaire marionnette, il a décidé d’être l’artisan de sa libération - Finkielkraut & compagnie reviennent se réfugier dans le giron de la République, qu’il a pourtant précédemment honnis et vilipendé, pour sa petitesse d’esprit, son manque d’ouverture au monde, son racisme et j’en passe !
Déjà évoqué dans d’autres de mes notules, ce comportement ambivalent est digne d’un caméléon, capable de s’adapter à tous les situations et surtout suffisamment pleutre pour changer d’optique et de camp, en fonction de la direction que prend le vent ! Cette propension est typique d’un peuple arrogant dans la victoire et pleurnichard dans la défaite !