Le Système* se sert de l’antisémitisme ou du terrorisme imaginaire, pour justifier ses lois liberticides. A l’inverse, il a besoin de l’antisémitisme, quand il a en tête un projet de loi, qui passera mieux si le Système peut le justifier en sortant de sa manche la carte victimaire : l’antisémitisme. Quel est ce projet ? La LOPPSI 2**... ?
Quoiqu’il en soit, Olivier Jay, délégué par le Système à la génération de l’antisémitisme, émet un propos doublement raciste, puisqu’il associe le racisme au caractère des Sémites qui ne lui ont pas demandé de promouvoir une préséance dans l’ordre victimaire mais qu’il associe à son entreprise perverse...
Olivier Jay fait prendre un risque à la communauté que ses propres fantasmes - la shoah de Damoclès - ont pris en otage, le risque que sa manoeuvre dérape et que la plupart des Français deviennent antisémites pour de bon ! Ce ne serait pas une première ; les banquiers juifs de Wall Street qui réclamèrent des sanctions commerciales contre l’Allemagne nazie avaient d’abord financé Hitler (iii) ; une histoire dont la conclusion manque (iv)...
(i) Action-réaction-solution : le Système arbitre les conflits qu’il génère
(ii) www.voltairenet.org/article1... (iii) "Wall Street and the Rise of Hitler" par Antony Cyril Sutton
(iv) www.nkusa.org/Historical_doc... - "10 questions adressées aux sionistes"