Le Coral (1982) : la mère de toutes les affaires de pédocriminalité
17 janvier 2020 11:25, par Patricia
Il faut être réaliste et faire face à nos devoirs... afin de ne pas sombrer complètement dans la barbarie et l’inconscience. Il convient d’être juste et très sévère ; l’un n’étant pas incompatible avec l’autre.
Pour les meurtres d’enfants, les meurtres rituels sataniques d’enfants ou de personnes fragiles et seules = peine de mort.
Il faut rétablir une échelle de peines qui est indispensable dans une société organisée digne de ce nom... Une communauté se doit de protéger les plus faibles et les plus démunis d’entre-nous contre tous les prédateurs. Les victimes doivent être reconnues et honorées ainsi que leurs familles.
Pour les complices et les traitres qui favorisent toutes ces horreurs = peine de réclusion à vie et incompressible, avec l’obligation de travailler afin de gagner sa pitance de chaque jour. Ce n’est pas aux "petites gens" du Peuple qui travaillent dur et font face à toutes les difficultés de ce monde, et qui doivent s’occuper en premier de leurs familles et enfants, à entretenir ces êtres dégénérés, malfaisants et sans conscience... Ces individus sont la plupart du temps irrécupérables et sont un danger permanent pour les enfants et les êtres fragiles ou seuls ; ce sont des prédateurs. Evidemment, pas de cellule de prison V.I.P. avec téléphone portable à volonté et TV canal + Pas de stages de réinsertion "bidon" avec des travailleurs sociaux gauchistes et stupides... adeptes du "tout-psychologisant." Tout çà est inutile, indigne et coutent très cher à la communauté. Les complices sont coupables car ils ont contribué aux meurtres d’enfants ou de personnes fragiles.
Voici ce que dit St-Thomas d’Aquin :
"Le moins parfait est ordonné au plus parfait. Cette subordination existe entre la partie et le tout. Toute partie - de par sa nature - est subordonnée au bien du tout : sacrifier l’imparfait pour le parfait. Ainsi si l’individu constitue un péril, il faut le mettre à mort au nom du bien commun."