De l’Amérique à l’Humanité : le passage du réel à la fiction comme clef scénaristique hollywoodienne
5 avril 2011 10:36, par anonyme
A ces films nous pouvons y ajouter...Harry Potter 6 (oui oui !) car bien qu’il se déroule en partie en Angleterre, il reste dans la sphère hégémonique anglo-saxonne. Les références à l’élu sont i-nom-brables, les parallèles avec la déportation et la Shoah sont gros, mais gros ! On est serinée par la menace invisible qui frappe à n’importe que moment, le combat du "bien" contre le "mal" par le "mal", une scène d’intro dans laquelle la gentille petite fille (symbole de la pureté et de la Vérité) nous vante les mérites du métissage entre deux races de l’univers "Potter" mais qui fini, bien sûr, mangé par un serpent géant (une autre symbolique ?)
Bref, ce genre de film à double lecture est, à mon sens, encore plus pervers en ce sens qu’il n’annonce pas clairement la couleur et se destine à un public assez jeune qui est bien plus malléable intellectuellement qu’un public adulte...