Ils sont restés l’arme au pied, en attente d’un ordre d’intervention qui ne viendra jamais.
Parlant d’ordre, au sein du chaos.
De la flicaille : il s’en trouve autant de branches de ma génalogie que j’en connais en dehors de cela, mais pour tout dire je ne porte pas cette maréchaussée qui devrait servir le peuple et le protéger, dans mon cœur, car elle ne remplit pas la mission d’origine dévolue, pour faire tout à fait l’inverse, qu’il s’en trouve certains à prendre leur pied.
C’est en cela d’ailleurs que Mélenchon se fourvoie lorsqu’il évoque au sujet de la police : « Si le métier est trop dur, il faut en faire un autre » et Castaner, plus coupable encore de le reprendre de volée, l’un et l’autre occultant le sujet principal ; le métier est dur par deux aspects, au moins, dont on néglige les responsabilités pour n’attaquer que les sous-fifres :
- pour ce qui relève de servir, les lascars ne tirent dans la foule que parce qu’on leur donne ces ordres-là. Quant aux violences lors des contrôles, que parce qu’ils sont couverts par deux hiérarchies : la leur et celle qui suit.
- pour ce qui relève de protéger, les lascars sont pieds et poings liés face aux délits et aux crimes que la Justice traite selon d’autres ordres, tout autant, en fonction des temporalités.
Sont donc responsables des différents chaos, les donneurs d’ordre aux plus hauts niveaux, lesquels dévoient le réel aspect sécuritaire qui ne devrait pas être répressif tant qu’il n’a pas été soumis à la Justice qui résoud et/ou sanctionne.