La double nationalité est une énième accommodation administrative goy (donc de bonne foi) dont la peuplade luminescente abuse.
Il est de notoriété historique que la double nationalité pose problème. La preuve étant qu’elle "saute" en temps de guerre.
Par exemple, pendant la Deuxième guerre, les résidents Étasuniens et Canadiens qui avaient la double nationalité japonaise étaient emprisonnés sans ménagement. Ce fût de même pour ceux d’origine allemande ou italienne (ce qui était fréquent à Montréal) qui furent internés dans des camps de concentration jusqu’à la fin de la guerre.
Leurs droits fondamentaux étaient déclarés caduc en vertu de la loi "sur le mesure de guerre", ceux-ci furent séparés de leurs familles, affamés, humiliés et violemment interrogés pour "collaboration avec l’ennemi".
Tout ça, eh oui, au pays de Trudeau la licorne "woke" qui pourfend les ploucs à coup de chaussettes Chewbacca. (il faut c’qui faut)
Pour l’histoire il est amusant de noter que la seule fois où cette loi a été utilisée en temps de paix, c’est le père de Justin Trudeau, Pierre Eliott Trudeau (ou PET au Québec), qui l’a utilisé en 1970, prétextant une insurrection appréhendée au Québec pour suspendre les droits de 6 millions de Québécois afin de créer un "électrochoc social" en faisant emprisonner 400 innocents sympathiques à la cause d’un Québec libre, scandé un an plus tôt par le général Charles de Gaulle.
Le but était de briser le mouvement indépendantiste canadien-français alors effervescent. Plus tard la commission Keable démontra que l’insurrection alors évoquée, reposait en fait sur une quinzaine d’étudiants désorganisés qui avaient volé de la dynamite et quelques armes sur un chantier de construction. Trudeau père et son ministère connaissaient cette donnée avant de voter la loi.
La pomme ne tombe jamais loin de l’arbre.