Paris tiers-mondisé : "urgence humanitaire" autour des jardins d’Éole
13 juillet 2021 21:19, par louise
Reste plus qu’a raconter la fin de l’histoire : la plupart des consommateurs de crack ne sont ni pauvres, ni misérables....
ils sont totalement fonctionnels socialement , et avec des moyens.
Mais pour que ça génère une telle faune dans les rues, c’est qu’il n’y a jamais eu autant de pognon en jeu...
Tous ces gens qu’on appel toxicomanes vivent en fait du traffic du crack.
Stalingrad à déjà été rebaptisé Stalincrack il y a des années déjà.
Certes il y a (beaucoup) de crack, mis il y a surtout beaucoup de sous dans cette histoire, et les sous ils viennent des gens salariés....
Coupé l’entré de ces quartiers aux usagers récréatifs...combien de temps les crevards vont tenir avant d’être contraint de changer de mode de vie ?
Il serait mal venu de jeter (encore) la pierre aux blancs,ou aux juifs...
et pourtant !
Tous ces individus ne sont que des sous produits du traffic, pas la toxicomanie réele.