Je viens de lire un article du Journal de Montréal sur l’ancienne première ministre du Québec Pauline Marois. Je ne peux m’empêcher d’y voir un parallèle avec Simone Veil. Deux femmes révolutionnaires !

Il y a 25 ans, Marois était ministre de l’éducation et créait les CPE, les centres de la petite enfance, des garderies accessibles pour tous à coût modique (5$ - 3 euros par jour). Son projet avait pour but d’améliorer le développement des enfants, mais surtout de faciliter la conciliation travail-famille des femmes.

Pour Marois, « Les CPE ont été une véritable révolution. C’est l’un des plus grands changements sociaux qu’a connus le Québec dans les 30 dernières années ». Aujourd’hui, avec la pseudo crise sanitaire, je ne peux m’empêcher de penser à l’enfer que vivent les jeunes enfants obligés de subir des mesures sanitaires débiles et à l’impact que cela aura sur leur développement. Ils seraient bien mieux en famille avec leur mère (et père) plutôt que parkés dans un enclos gardé par des technocrates et des syndicalistes.

J’ai été social-démocrate. Je le regrette. Aujourd’hui, je comprends que cela nous a mené au collectivisme.