Botox, lifting au laser, peeling de la peau du visage : Valérie Détresse entretient un lien trouble avec la chirurgie esthétique. Elle était déjà le laideron du Bilderberg mais là, sa face est devenue inexpressive et sans trait distinctif.
 Valérie Pécresse fut à Chirac ce Rachida Dati a été à Sarkozy : un vide-« pensée ».
 Un histrionisme de figurante de série z, une blondeur artificielle qui ne sied plus avec les retouches que la cruauté du temps et une main experte ont opérées sur son visage, une personnalité dénuée de toute idiosynsacrie reconnaissable, des convictions idéologiques versatiles et superficielles : oui, la Pécresse remplit TOUS les prérequis du président-robot qu’un train de vie luxueux éloigne du prix de l’essence et de la baguette. Elle n’est pas du peuple, donc très rassurante pour ceux qui seraient tentés de lui arranger du deuxième tour à plus de 66%.
Conclusion : Porteuse des valeurs cardinales de l’utilitarisme mercantiliste, technocratique et d’une froideur clinique, Valérie Pécresse sera le parfait agent du NOM. La Loi Martiale, si elle est imposée par une femme, n’est plus une brutalité mais une nécessité.