La finance internationale ne recule devant rien pour s’en foutre plein les poches à grand coup de délits d’initiés. Il suffit de regarder comment les commodités (blé, pétrole, bois...) explosent quand le contexte économique créé de toute pièces par bloomberg et compagnie est mauvais, et comment le marché des titres explose quand on nous vend une prétendue reprise (entièrement factice et alimentée par la planche à papier) qui n’existe pas non plus à part dans la tête du pauvre gogoy à qui on inflige toute cette mascarade.
Tout ça n’est qu’une question de pognon, de gros sous. Rendre le peuple encore plus dépendant qu’il ne l’est déjà. Si possible avec le Dollars. Un ruissellement de pisse.
Et demain, votre voisin vous dénoncera pour un paquet de farine ou un petit chèque alimentaire du gouvernement. Voilà pourquoi le peuple n’est capable de rien. Entre les lieutenants du capitalisme que sont les cadres, eux même sujets à la dépression du fait de leur vide existentiel, et les prolétaires qui n’ont pour horizon que leur prochaines échéances, aucune unité n’est possible.
On maintient le prolétaire dans sa haine du riche, caricaturale et souvent mal dirigée, et on maintient le petit cadre dans son illusion d’être quelqu’un et de servir à quelque chose alors qu’il n’est qu’un pute mal payée pour des prestations des plus sordides.
Tout est fait pour que les un détestent les autres. Mais plus le temps avance, plus cela devient grossier. Huilez les guillotines.
Egalité et réconciliation.