les enquêteurs le soupçonnent d’avoir « fermé les yeux » sur de faux certificats.
Il ne faut donc pas exagérer : ce ne sont que des « soupçons » et ne portant sur aucune action.
D’autre part la mise en exergue du trafic d’antiquités en provenance des pays ayant subi le « printemps arabe » est une vaste opération de communication visant à occulter le véritable financement de ces « révolutions » et « guerres civiles ».
La version officielle de Bruxelles et des pays occidentaux est que le trafic d’antiquités financerait les achats d’armes par les terroristes islamistes et les groups armés comme Daesh.
C’est un rideau de fumée qui est entretenu pour occulter la réalité décrite par l’enquête de Dilyana Gaytandzhieva :
https://armswatch.com/us-task-force...
Les volumes des cargaisons d’armes fournies par les Etats-Unis et leurs alliés aux terroristes islamistes sont colossaux et jamais le trafic d’antiquités ne suffirait à les payer. Et en réalité, les armes des terroristes ont été directement payées par les Etats-Unis et leurs alliés.
Il y a certainement des antiquités qui ont été vendues frauduleusement, mais il faut bien comprendre qu’il y a un véritable effort pour gonfler médiatiquement l’importance de ce phénomène et que tout moyen est bon à prendre pour imposer l’idée dans l’opinion publique que le trafic aurait une importance significative :
https://www.lesechos.fr/2017/07/fin...
Et il y a encore un autre phénomène, c’est l’attaque permanente contre les grandes institutions culturelles françaises traditionnelles : l’Opéra de Paris, Versailles, Le Louvre, Notre-Dame, les Conservatoires de musique, etc. qui sont toutes dans le viseur des mondialistes.
Des « soupçons » portant sur « avoir fermé les yeux », c’est donc un peu léger et ça ne peut qu’inciter à la prudence...