Quel débat stérile et sans fin qui ne répond à aucune question de fond.
Dieu sait que le sujet a pourtant été maintes fois traité en profondeur que cela soit par l’anthropologie, la science, la culture, les modalités civilisationnelles, religieuses ou simplement spirituelles.
Je ne parle même pas de l’expérience de la vie de couple dans une recherche d’harmonie et de complémentarité nécessaire au bon développement de sa progéniture.
Comment voulez vous obtenir une société apaisé et saine sans homme, le vrai, celui qui en tant que père impose et tranche sans ambiguïté ce qui est par nature une transgression manifeste des règles censées éviter les dérives qu’elles dénoncent ?
D’ailleurs si elles étaient autant au fait des conséquences de ces utopies (féministes comme masculinistes) en expérimentant le réel, elles se rendraient vite compte de l’ineptie de leurs démarches.
Au bout du compte des deux côtés du spectre des genre masculin comme féminin, cela consiste à flatter les égos dans une recherche vaine de l’auto satisfaction et d’une reconnaissance de qualités féminines ou masculines fantasmées.
Nos maîtres doivent vraiment jubiler en observant toute une génération se fourvoyer à ce point !