Stéphane Édouard remet les pendules à l’heure sur l’affaire Julien Bayou
16 novembre 2022 09:02, par rct
Bref, le Julien est ses groupies font la paire. Un pervers narcissique, ou assimilé, politicien typique, et une néo-oie blanche qui mêle le besoin d’être aimée/estimée/appréciée tant au niveau personnel que professionnel, à celui de grimper les échelons par la voie rapide.
L’oie blanche du 19e siècle, qui étant quand même vierge, mineure, à statut protégé, cherchait le mari le mieux pourvu, le plus présentable physiquement et intellectuellement si possible. Lui cherchait une dot ; l’oie la plus grasse.
S’aimaient-ils de suite ou à force de procréer ensemble ? Là n’était pas la question.
La demoiselle devenait une dame parfois psychologiquement fort maltraitée/négligée par le beau séducteur.
Nous sommes revenus à ces unions intéressées. Aujourd’hui, les politiciens ne cherchent plus une épouse mais une/des maîtresse(s) plus ou moins gratuite(s), à rémunérer via l’argent public (un poste).
Finalement, la jeune femme wokie n’a même plus le statut respectable d’épouse et mère que devenait l’oie blanche. C’est une danseuse aux frais de la princesse et en butte aux mufleries de celui qui l’a mise en orbite et a bien profité de sa jeunesse, sans débourser.
Normal que les JF soient fâchées. Elles ont peut-être éprouvé quelque chose de sincère, qui a été piétiné. Et constaté qu’elles sont jetables comme des kleenex.