"Un historien britannique a pu démontrer, à l’aide de nombreux exemples que les pasteurs, avant les savants, furent les principaux contempteurs des astrologues [NDA : des traités de réfutation de l’astrologie ont été écrit dans le monde musulman, notamment par Ibn Sina, connu sous le nom d’Avicenne, qui a vécu entre le Xe et le XIe siècle de l’ère chrétienne]."
Tamerlan, au début du XV siècle écrivit à Charles VI, roi de France, pour lui annoncer sa victoire sur Bajazet à la bataille d’Ancyre (Ankara), en signant "Seigneur des Conjonctions favorables".
Le Cardinal Pierre d’Ailly, auteur de traité astrologique sur les conjonctions, résorba la crise de la pluralité papale au Concile de Constance (1414-1417), avec un argumentaire astronomique. Il était convaincu de la corrélation de l’histoire et de ses grands événements avec les conjonctions, et avança la date de 1789 pour l’avènement de l’ère antéchristique.
Les conjonctions astronomiques furent également l’objet de l’intérêt de Morin de Villefranche, astrologue de Richelieu, au XVIIè siècle.
Les astres et les luminaires du premier chapitre du livre de la Genèse furent placés par Dieu dans le ciel avec le soleil et la lune, pour marquer les temps.
L’évangile de Matthieu, au chapitre 2, décrit les pérégrinations des rois mages, à la suite de l’étoile, pour venir offrir leurs dons au Christ né à Béthléem en suivant l’étoile.
Mazel tov !