La Première dame Brigitte Macron lance son offensive contre le harcèlement scolaire
10 juin 2023 11:24, par pipeau-flûtiau
C’est une fiction tiktok.
La petite est comme une version photoshoppée/rajeunie au logiciel de la maman, toute pimpante.
Un deuil de ce type vous colle des cernes, des yeux tristes, des blêmeurs, des joues creuses. On ne dort plus, on vit sous calmant. On éprouve une colère rentrée, on se sent coupable.
La petite écrit trop bien et dit exactement ce qu’un scénariste imaginerait dans ce cas cliché de la gamine qui fait des vidéos et se retrouve harcelée. Ce qu’elle dit n’offre aucune précision. Tout reste nébuleux. Les vivants étaient méchants, c’était des filles, elles seront bien contentes mais je m’en fiche. Elle a l’air très contente et équilibrée et sait déjà à treize ans se présenter bien maquillée et filtrer ses apparitions. Avec un visage comme celui de cette fillette virtuelle, on n’est pas en train de se suicider. D’ailleurs comment a-t-elle fait ? Même des adultes ont du mal à mourir et ne pas se rater.
Quand on va mourir, on dénonce. Parfois une larme tombe sur le papier où on ne fait pas trop attention à son orthographe. On dit sa douleur avec des mots simples, personnels, On s’adresse à sa maman chérie, on crie au secours car tout ce qu’on veut, c’est dormir.
Les fictions américaines avec création de faits-divers gagnet le pays.
Il faut bien masquer une sorte de défaite oxydentaire