Le jeu de la France fait rêver. C’est l’attaque, le mouvement virevoltant , l’inspiration qui trouve sa source dans les profondeurs de l’âme du sud-ouest de la France. Le rugby de la sudAf , c’est la contre-attaque, la mise en calcul du jeu , la rationalisation de chaque geste à l’image de l’automatisation des tâches qui caractérise l’économie capitaliste globalisée. Ces parcelles, ces particules de qualités divines que sont la créativité, la spontanéité, le génie humain , sont étrangères à la conformation mentale des joueurs sud-africains. Deux chandelles , un rebond favorable, contre une EDF à l’assaut de la forteresse sudAf, ont permis de prendre en défaut les arrières tournés vers l’attaque. Une IA greffée dans le cerveau des sudAf par Neuralink permettrait de répliquer les facettes du jeu des Springboks, à cette différence , toutefois, qu’une IA est programmée pour respecter les règles. Ce qui n’a pas été le cas , lors de la transformation de Ramos qui a été contrée tout simplement parce que le joueur adverse a commencé à courir depuis sa ligne d’en-but avant même que notre buteur ne s’élance. L’arbitre O’keefe est soit incompétent, soit pro-Anglo-Saxons en raison de l’appartenance de son pays au Commonwealth et de l’allégeance de chaque citoyen à la couronne britannique. Aussi loin que l’on se souvienne, la France a toujours perdu des matchs du tournoi et de coupe du monde dans des conditions douteuses, surtout lorsque le score était serré. Souvenons-nous de la Demi-finale volée contre ces mêmes Springboks lors de la coupe du monde 1995 en sudAf. Il faut financer des centres de formation dignes de ceux du football pour qu’un jour nos équipes soient en mesure de vaincre les équipes anglo-saxonnes de l’hémisphère sud avec un score sans bavures. Le rugby français, c’est le romantisme absolu ! de défaites en défaites jusqu’à la victoire comme dirait le patron !