Le bipède ne change pas. Forme de vie avec ses limites spécifiques, l’humanité, comme espèce, est composée de profils psychocomportementaux types qui perdurent intangiblement au long d’une existence temporanée, qui se déroule aux rythmes fondamentaux sur le très long terme. Collectivement, seule la forme change, qui exprime les changements sur des points de détail relatif, entre-autres, à l’organisation de la grégarité qui fait le fond du mode comportemental pour d’impérieuses raisons de survie. Ces organisations s’orientent d’après leurs biotopes et ce qu’elles favorisent pour y perdurer. Plus elles s’éloignent des fondamentaux et plus les dérives psychocomportementales ont de latitudes pour prendre leur distances avec les lois universelles et même une réalité ennemie de leurs divagations. Cela peut visiblement aller au point où elles phagocytent certaines organisations jusqu’à mettre leur survie en jeu, fusse par la violence. Ici-maintenant, il ne se passe rien d’autre.