L’Iran doit « faire le poing dans la poche » , comme les italiens ont coutume de dire. L’Iran ne doit pas s’engouffrer dans l’escalade qu’Israël cherche à provoquer avec cet attentat contre son consulat à Damas qui a fait 16 morts.Fort de l’appui militaire inconditionnel d’une Amérique malade du sionisme , l’Etat juif n’aspire, comme à Gaza, qu’à noyer l’Iran sous un tapis de bombes. Trump en tête, cyclothymique s’il en est, qui n’avait pas hésité à donner l’ordre de tuer le héros du peuple iranien, le général Suleimani. L’Iran est un pays à part, dont l’assise repose sur une culture millénaire captivante, s’enrichissant d’un artisanat traditionnel qui témoigne de la finesse d’esprit et de la dextérité de son peuple, lequel se distingue aussi par le charme de ses femmes, véritables déesses de l’amour par la tendresse qu’elles prodiguent à l’homme qu’elles aiment. L’Iran doit faire preuve de dignité dans l’épreuve et ne pas répliquer par la violence à la tyrannie des fous d’Israël.
En somme, l’Iran doit s’inspirer des enseignements du Christ, et, avec le tact que l’on reconnaît à sa diplomatie, réfréner son désir de vengeance pour éviter une spirale guerrière qui risquerait d’embraser la planète.