Godrèche et ses 1 000 violées font l’ouverture du Festival de Cannes
19 mai 2024 20:20, par Aramis1, vendre son corps
2, vendre son agression sexuelle
3, vendre sa progéniture
C’est ça ! Y a aucun doute ! Trop bien résumé !
Après, est-ce que finalement, on va pas arriver à une talibanisation de la société, avec les femmes en première ligne, l’immense majorité des femmes dont le corps n’est pas vendable, que personne ne veut agresser sexuellement et qui n’ont pas de progéniture à vendre ?
Parce que dans le ventre mou de la moyenne des femmes, on serait plutôt à quémander une agression sexuelle, au moins dans un "role play", un fantasme, dans la supplique de consolation narcissique que je serais belle au point qu’il violerait la loi en plus de me violer moi.
Parce que le nombre de femmes qui te confient leurs fantasmes de viol, de soumission, d’esclavage, etc... c’est quand même statistique.
Perso, j’en ai eu plein, et le sommet, c’était une étudiante allemande qui aimait quand je sentais l’alcool et qui aurait voulu je porte aussi des bottes en cuir d’officier de cavalerie... une lectrice de Kleist. Et puis une étudiante française : « je serais une fille de mauvaise vie déportée en Amérique au 18ème siècle, et tu commanderais le navire, et tu descendrais dans la cale pour choisir parmi nous une fille à violer, et c’est moi que tu choisirais entre toutes les filles, je serais ton élue »...
Après, il y a toutes celles qui disent plus prosaïquement "j’suis ta salope, j’vais te sucer et tout t’avaler, hein ? j’suis ta salope, d’accord ?" Trente ans plus tard, sous l’influence de la baisse d’oestrogènes, elles flippent en se souvenant qu’elles avaient le feu au cul quand elles étaient encore jeunes et fraîches, et qu’en marchant dans la rue, à la seule pensée du phallus, l’eau coulait le long de leurs cuisses (une fille de 20 ans m’avait confié ça : en allant au Monoprix, ça coulait le long de ses cuisses).
Donc, elles se vengent de leur jeunesse. La jeune qu’elles ont été, elles la détestent maintenant qu’elles sont vieilles. Elles sont schizo. La Godrèche d’aujourd’hui crache sur la Godrèche adolescente qui ne rêvait que de découvrir le goût du gland, et en même temps, elle la trimballe sa fille qui ne pense qu’à ça pour lui faire dire qu’elle aime pas la bite...
Godrèche est donc une vieille vicieuse qui détruit sa propre fille : « Déshabille-toi pour te faire remarquer par les hommes mais dit en même temps devant tout le monde que t’aimes pas la bite et que tu n’aimes pas jouir ».