Derrière chaque attentat terroriste, il y a une structure étatique.
Le terrorisme est le meilleur allié de l’État.
Tout comme l’État entretien la criminalité, la délinquance..
Et derrière l’État il y a la finance, l’a banque, le vrai pouvoir.
Karl Marx disait
La criminalité est l’outil du capitalisme.
Pour un criminel, on créait des tribunaux, avec des juges, greffiers, avocats, assistants, on créait des prisons, avec des matons, des assistantes sociales, des infirmiers, on créait des commissariats, avec des policiers, des commissaires, leurs crimes et délits, engendrent des fonctionnaires, des assurances pour dédommager, des hôpitaux pour soigner leurs victimes, des cabinets d’expertise, tous ces gens, créaient eux-mêmes des emplois, puisqu’il faut des écoles, des logements, des administrations pour leurs familles, donc de la police, des médecins, des commerces, etc...alors qu’un travailleurs, artisans, agriculteurs, commerçants, ne créait pas un quart de tout ça.
Le criminel sert à produire du capital
Le terroriste sert a manipuler par la peur la terreur les travailleurs artisans agriculteurs commerçants.
Tout ça ne sert qu’une caste parasitaire , celle de la finance apatride.
Une société où il n’y aurait que des travailleurs et de l’ordre,de la sécurité, serait une société déficitaire pour cette caste.
Le capitalisme se nourrit de lui-même.
Il a besoin du criminel, du déviant,du drogué, de la prostituée, du petit délinquant, pour créer de l’argent qu’il soutirera au travailleur, travailleur qui ne travaille que pour payer une sécurité qu’il n’aura jamais.
Et la finance apatride spécule, vend, financiarise tout ce bordel en vendant assurance, contrât, produits bancaires, précarité, inégalité sociale, injustice, peur, névrose, violence...
Elle peut ainsi créer un autre marché financier de plus, la médecine, avec la psychiatrie, les anxiolytiques, tranquillisants, antidépresseurs.
Tout ceci se couple avec l’alcoolisme, la toxicomanie, etc...
Voilà comment nos sociétés modernes créait des milliards de milliards .
Crime, terrorisme, délinquance, maladie, insécurité, trafic, prostitution, névrose, pathologie, etc...
C’est ce qu’on appelle démocratie le bien la liberté
Et l’ordre le travail la sécurité, c’est ce qu’on appelle le fascisme, l’extrême droite, l’obscurantisme...
Avez-vous compris la douille ?