Soral chez Field en 2000, ou le pavé dans la mare féministe
27 août 2024 07:34, par Zijed Kolmsma
générer des activités inutiles, improductives, oniriques, virtuelles, spectaculaires, dans un tertiaire croissant staffé par des femmes libérées de la famille, sorte d’estomac du futile, pour digérer de plus en plus de masse monétaire émise ex-nihilo, au plus grand plaisir des ayant-droit du profit net bancaire.
Cui bono, toujours cui bono. Difficile pour les média actuels, de donner à penser le média suprême, la monnaie, avec sa liquidité et ses transformateurs dans le temps et l’espace que sont les taux d’intérêt et de change. On serre la liquidité pour voir les gens s’étriper, on la relâche pour restaurer la paix, pour transformer en schizophrénie la joie de vivre.
Le marché est si épris de liberté qu’il interdit toute transaction par devers lui. Au sein de la communauté un billet tourne treize fois avant de rejoindre un compte en banque, en dehors, une seule fois. Et même les conversasions sont contrôlées. Oui, nous sommes arrivés au terminus de la route de la servitude, où le Créateur est dépossédé de son univers.