Charmé par la voix de la journaliste, claire, à la diction parfaite, à l’intensité profonde et juste. Une Ode à la Féminité. Ses questions sont claires et pertinentes, pas de vice décelé, pas de piège, une Ode au Journalisme.
Ça change des journaputes, veules et vicieuses, qu’elles aient un pénis ou une vulve.
Belmondo peu paraître niais au début, puis, dès qu’il parle, révèle une intelligence et une lucidité humaine profondes, qui le contraignent à ne pas avoir la grosse tête, malgré l’énormité de la reconnaissance artistique qui lui est faite. Du moins je le perçois ainsi.
L’immigration italienne, fut-elle pied noire, était quand même autre chose que les autres, plus récentes on dira, pour rester courtois. Après l’époque en était une autre effectivement, et la France antéwokisme également. Paix à son âme...