Dire qu’avant les Clinton les petits Américains travaillaient à l’école parce qu’on leur disait qu’en intégrant l’élite ils pourraient peut-être devenir président.
Intégrée dans le calcul du PIB, il s’avère que la prostitution a été une voie trop longtemps négligée.
Se demander ce qu’elle pense ou analyser ce qu’elle dit n’a absolument aucun intérêt.
S’il y a une chose claire chez cette femme c’est qu’elle n’en a absolument rien à faire du sort du peuple américain.
La seule question qui intéresse la pègre, c’est-à-dire l’état profond, est de savoir ce qu’il va être capable de lui faire faire, l’état de sa docilité. Idem pour un candidat homme.
Comme tous ceux qui ne maîtrisent rien, elle s’accrochera aux directives reçues comme la moule à son rocher.
Encore une pâte à modeler aux dents longues.
Conclusion : analyser les discours des politiciens est toujours une perte de temps de nos jours, même si c’est du sucre pour les idéologues. Le charabia est autant un mensonge travaillé que l’image. Les actes, rien d’autre.