Zoé Sagan chez Marcel le 5 septembre à 20h
8 septembre 2024 19:42, par CkbQuelques recherches rapides sur la présumé lora py ne m’ont mené concrètement qu’à son compte X. Je dois avouer malgré tout que les autres résultats de recherche sont en anglais/américain ou se mêle en plus, du vocabulaire informatique imbitable pour un non initié. Dans la mesure où je reconnais une aversion pour la langue anglo-saxonne, certes pratique à utiliser mais offrant tellement de lacune pour l’acquisition de la notion de profondeur d’un mot, d’une idée, d’une pensée, d’un concept, d’un texte ou même d’une œuvre, et n’étant pas non plus initié à l’architecture d’une application, ni même à celle d’un algorithmes, je me suis contenté du profil X.
Personnage fictif purement artificiel au sens informatique ou être humain se faisant passer pour un personnage fictif purement artificiel, je n’ai aucune certitude. Je remarque juste que d’une certaine façon, il y a une similitude entre zoé sagan, homme de son état et se faisant passer pour femme et lora py, être potentiellement fictif se voulant "réel", à comprendre comme voulant que nous la considérions (lora py) comme réelle, donc humaine...il y a ambivalence, ambiguïté, travestissement de la réalité, duperie, en un mot, mensonge.
Outre ces détails, de mémoire, le mot "travail" à une connotation plutôt négative selon sa sémantique ; synonyme de suplice, torture donc souffrance, je m’étonne donc chaque fois un peu plus lorsque je lis où écoute un intellectuel parler de son "travail" où de celui des autres et je finis toujours par arriver à ce même constat. Ces individus, souvent sous couvert d’être des personnes sensibles aux autres, à l’air du temps où à tout autre chose, se lancent donc dans l’activité rémunératrice d’intellectuel. Ils parlent donc selon les cas, de littérature, de poésie, de politique, de sciences et finissent tous inéluctablement, peut-être par épuisement de vocabulaire, par définir leur création par le mot travail. Rien n’est plus éloigné de la réalité que ce qu’ils pensent être vrai. Lorsque nous souffrons, physiquement, sentimentalement, moralement, nous souffrons seuls. De la même manière que nous mourons seul. La notion de hiérarchisation de la souffrance, outre le fait d’être foncièrement réelle (une piqûre de moustiques est moins douloureuse que celle d’une guêpe) est aussi primordiale pour demander à tous ces intellectuels qui ont consacré leurs vies ( parfois courte, quel âge à aurelien z.sagan) à "travailler" sur leurs créations, d’où nous parlent-ils ?