Il semble que Brigitte n’ait pas mentionné le viol dans sa plainte.
Mais elle a dû subir un traitement dégradant auquel elle ne s’attendait pas.
Quoi qu’il en soit, à moins qu’elle ait été naïve et ne l’ait rejoint dans une chambre d’hôtel que pour parler philosophie, il semble qu’elle ait admis a priori un échange plus physique.
Chacun risque d’être déçu dans ces circonstances.
Ou humilié. Probablement plus les femmes que les hommes, mais une femme adulte le sait et peut se prémunir.
C’est comme ça, les rapports humains étant complexes depuis la nuit des temps. La justice ne devrait se mêler que de cas de violences avec blessures réelles, forcing sur mineurs ou dans un lieu public ou imposé par la force, entre personnes qui ne se connaissaient pas de façon intime auparavant.
Cela éviterait de trop se mêler de la vie privée des gens, de l’étaler sur la place publique ou de les faire chanter sous menace de l’étaler.
15 ans après, un témoignage n’est pas assez fiable, dans les cas douteux comme celui-ci.
Je trouve cruel ce jugement, imposé à une personne qui souffre déjà moralement et physiquement d’une maladie chronique très pénible. C’est montrer peu de respect pour la faiblesse physique et les sentiments du condamné.