Innocent Oseghale, un Nigérian qui avait violé en réunion, démembré vivante et mangé des morceaux de Pamela Mastropietro, une Italienne de 18 ans, a fait appel de sa condamnation à perpétuité : le système judiciaire italien a fait preuve de racisme envers un cannibale.
Le tribunal ne l’a pas non plus dédommagé pour les 2 valises dans lesquelles il a fourré le corps démembré de la gamine : le temps de travail horaire et les fournitures d’emballage méritent salaire. Encore un manquement contre un migrant.
Innocent Oseghale, victime de la justice, conteste sa condamnation à la prison à vie, avec une peine de sûreté de 18 ans. Il fait appel d’une partie de sa peine, affirmant qu’il n’a pas violé la jeune femme avant de la tuer : oui, le tribunal devrait réduire sa peine, car il a découpé et mangé Pamela, mais sans la violer. Ça stresse le gibier et ça gâche l’accroche du sushi humain au palais.
La mère de Pamela s’est présentée à l’audience, vêtue d’un t-shirt montrant le corps décapité et démembré de sa fille : « Après cinq ans, je perds la foi en la justice. Je me demande quel est l’intérêt de juger à nouveau Oseghale, de remettre en cause les violences sexuelles et d’ouvrir la possibilité d’une réduction de peine. N’a-t-il pas exercé suffisamment de violence pour mériter la prison à vie ? (…) Tous ceux qui ont vu ces images savaient que si elles étaient rendues publiques, elles ébranleraient les consciences. Il y avait d’autres personnes avec Osenghale, le jour où il a tué Pamela. J’ai l’impression que personne ne fait l’objet d’une enquête. Personne ne recherche ces hommes. »
Madame la maman, tais-toi, s’il te plaît. Tu ne vois que la justice italienne a du travail plus urgent ? Harceler Salvini, un homme politique alors élu pour barrer l’entrée à de potentiels autres Innocent Oseghale. Et puis, rien de tout ça ne serait arrivé si tu avais avorté à temps.