Pourquoi la société israélienne va exploser
26 septembre 2024 02:49, par Lames d’acierSi l’on parle du projet Andinia, ce sont des capitaux de Wall Street qui ont financé les acquisitions de dizaines milliers d’hectares de terres, essentiellement côté chilien, au pourtour du détroit de Magellan. Les limites de ces terres sont hérissées de barbelés et protégées par des gardes armés. Les autochtones ne peuvent plus y mettre un pied. Des actions devant les tribunaux visent à obtenir la condamnation des émissaires des financiers de New York qui recourent à des manoeuvres d’intimidation à l’encontre des propriétaires terriens pour qu’ils leur cèdent leurs terres. Le gouvernement chilien a renoncé à toute souveraineté sur d’immenses portions vierges de son territoire depuis 40 ans et les locaux organisent régulièrement des manifestations pour dénoncer la spoliation de leurs terres dans les parages du détroit de Magellan. Les rachats ou expropriations manu militari de terrains s’étaient intensifiés dans les années 1990 à l’initiative d’un certain Tompkins qui avait fait fortune dans le prêt à porter. La volonté de conquête de la terre d’autrui est la même que celle qui conduit Israël à raser Gaza pour y installer des colons. En Patagonie, l’argument invoqué pour justifier la colonisation -à marche forcée -était La Défense de la nature . En réalité, Tompkins agissait pour le compte de mandants très puissants désireux de posséder des espaces naturels non contaminés,à proximité de l’Antarctique dont les icebergs sont autant de gigantesques cellules frigorifiques permettant de stocker des tonnes de vivres. Dans le Svalbard , une région du Groenland, toutes les variétés de grains et semences sont stockés par Bill Gates et ses acolytes dans un bunker profondément enfoui sous terre tandis que des tonnes de vivres seraient conservés dans les glaciers de l’Antarctique. La Patagonie et l’Antarctique proche seraient préservés des éventuelles retombées radioactives en cas de guerre nucléaire en Europe ou au moyen-Orient. A E&R , Marie Poumier, qui connaît bien l’Amérique du Sud , est au courant du projet Andinia. En été, des cohortes de jeunes israéliens arrogants sillonnent en terrain conquis ces possessions israéliennes qui, sur le papier, appartiennent à des sionistes du monde de la finance new-yorkaise. Le sionisme n’a pas de limites et utilise la même technique, basée sur le viol de la psychologie humaine, pour faire prévaloir ses visées expansionnistes et étendre les ramifications de sa domination à d’autres parties du monde.