Va-t-on juger les criminels de guerre israéliens à double nationalité ?
29 novembre 2024 06:13, par Albert
Le verbe chatier me semble plus juste, car un fois que le mal est fait plus rien ne peut le delier du souvenir du temps durant lequel il fut commit , par celui qui en fut la victime innocente
La justice ne se conçoit que pour des blessures d’orgueil , celles qui restent accessibles à une réparation,. Elle.n’en demeure pas moins concernant le chagrin, qu’un emplâtre sur une jambe de bois
La justice va donc débruler ceux qui moururent brûlés vifs devant leurs proches en cêpant quelques ramures d’un arbre portant de biens vilains fruits