Alain Soral : "Trump est un super-Le Pen mondial"
27 janvier 12:33, par toto la ciboulette
Toujours un plaisir d’écouter AS, seul bémol son mépris pour les salariés, pour avoir des petits patrons il faut des salariés aussi.
J’ai travaillé sur un logiciel de gestion de production, un de nos clients lorsqu’il est mort à légué son entreprise à ses salariés, qui dit mieux.
Quand à la liberté elle peut être relative quand on voit les heures effectuées par le patron, son divorce et sa maison hypothéquée quand l’entreprise va mal, sans compter les ulcères de ne pas pouvoir payer les employés. Et pour en fin de compte ne plus faire ce que l’on aimait au départ en plus de jouer les capos inévitables pour régler les conflits d’égo.