Le nucléaire, cette réussite française que l’Europe veut miner en 2025
4 février 19:16, par Domino
A l’heure non seulement de la déchristianisation mais aussi de l’indifférence religieuse, une religion de substitution est en effet promue avec Gaïa à la place de Dieu et la décroissance comme moyen du salut... sous le regard approbateur de beaucoup de chrétiens, si ce n’est du pape. C’est bien le pire.
Tout y est : le paradis perdu (lecture littérale de Genèse 2...), le péché (repentez-vous de consommer sans distinction du souhaitable, du nécessaire et du superflu), la rédemption (laissez-vous appauvrir !), les boucs émissaires, les grand-prêtres et les anathèmes ressassés par les médias aux ordres... et parfois les autres.
Tout y est suivant un schéma présenté trop souvent par l’Eglise elle-même : faute-rédemption-salut. Sauf qu’au commencement est l’amour, pas la faute. Et ça change tout...