Quand l’obéissance à la loi au moins apparente est la seule finalité d’une vie spirituelle et religieuse, on aboutit à toutes sortes de tractations intellectuelles et de détournements moraux pour adapter la loi par des interprétations très personnelles de celle-ci. Le Talmud en est l’exemple le plus abouti.
David et Moshe l’ont bien compris, si nous sommes le peuple élu, quoique de moins en moins faut l’admettre, il suffit de respecter les interdits rituels et demander pardon de ses fautes au Yom Kippour, et tant que vous n’omettez surtout pas de donner une partie de votre butin aux appels de fond de la communauté, un pour tous tous pour un et dix pour cent, vous avez quartier libre sur les goyim.
Je souris toujours à leurs leçons de morale et d’indignation en pensant à la réalité de ces adeptes de l’immoralité illimitée cachée derrière un maquillage outrancier de souffrance millénaire.
Malheureusement, c’est nous les victimes et ça ça me fait moins rire.