Il n’y a pas que le pognon qui se fait par l’immobilier. L’urbanisme dont l’immobilier fait
partie, permet de gérer les bureaux de vote...
Explications :
Sachant qu’il faut environ 1000 à 1500 électeurs par bureau, disons 1500, dans le cas d’un quartier à majorité pour l’opposition, il suffit d’octroyer des permis de construire pour des lotissements du standing approprié dans le but d’amener par exemple 300 électeurs de plus. Le bureau initial fini forcément par être scindé en 2 (c’est la Mairie qui le décide).
De 1500 on est passé à 1800 qui, scindé en 2 font 1 bureau de 900 électeurs (l’opposition y est donc fortement affaiblie), et dans l’autre, les 600 du bureau initial seront de fait réduits mais également affaiblis puisque recevant 300 nouveaux électeurs dont le standing approprié adaptera le sens du vote.
Ici il faut comprendre l’importance des listes électorales qui sont systématiquement consultées et travaillées après les élections mais aussi comprendre l’organisation des partis avec les référents des quartiers qui sauront dire pour qui telle ou telle rue vote et qui en plus seront désignés comme assesseurs, vice président voir président d’un bureau de vote.
CQFD : plus tu as de gens à toi qui tiennent le terrain plus tu seras représenté = régime des partis.
CQFD : qui a le plus d’hommes de terrain sinon les 2 ou 3 partis principaux (LR/FN, PS/LFI) ?
CQFD : LR/FN, PS/LFI + rapports Attali puis Balladur = réforme territoriale = suppression de 30000 Mairies / 36000 (au nom de la réduction des coûts et l’amélioration des compétences locales..) = Avènement des ComCom et Euro-métropoles.
CQFD = 6000 Mairies LR/FN, PS/LFI qui votent la chambre haute (les sénateurs) et qui octroient leur signature à une français présidentiable.
Ceci expliquant cela, pour l’instant, UE vs Souverainistes, c’est l’UE qui gagne.
Au passage, le monde rural n’a aucune chance. Et sinon, avec ça, faut bien commencer, alors ceux qui veulent, me suivent !