Voilà, quand même, une nation dont le sport favori est le coup d’état à l’étranger. Une nation qui a organisé celui d’Ukraine, qui a dissuadé son ’’dirigeant’’ (un médiocre histrion israélite qui se singularisait dans sa technique pianistique en jouant avec sa bite) élu par truquage sur un programme qui était une escroquerie, ce qui était déjà bien pourri, qui de concert avec l’Angleterre, a donc dissuadé ce guignol (un kleenex) de négocier avec une Russie excédée d’insultes et de manipulation tous azimuts, et contraint l’UE a participer à la guerre qui en a résultée, contre ceux-là même qui l’alimentait à satiété en énergie bon marché et autres matières premières. Résultat, une Russie qui domine militairement l’Ukraine totalement ruinée et désormais, une Europe Occidentale laminée, en plein marasme socio-économique ; une Russie qui a ’’vaincus’’ les USA mais dont, quand même, le complexe militaro-industriel s’est goinfré. C’était déjà l’effet kiss-cool, mais voilà qu’en plus les commanditaires transforment leur défaite et leur humiliation en victoire en se précipitant du côté de l’adversaire d’hier, tout en laissant leurs vassaux en rase campagne (j’te prends, j’te r’tourne.. !). Si les dirigeants Européens et/ou l’UE ne se précipitent pas dans les bras de la Russie sans attendre, leurs populations qui savent depuis le début de cette guerre à quoi elle sert, vont les éliminer avec perte et fracas.