Une intronisation, un couronnement de carrière pour ce régime, ses thuriféraires, ses compatibles adoubés, sa caste, ses complices et ses innombrables larbins, bonniches et autres bennies oui-oui ; têtes de nœud ’’républicaines’’ serviles à la gamelle : ’’pecunia non olet’’(voire...). Une consécration avec, d’une fusée d’artifice l’autre, d’abord détournement de mineur originel, suivi de pédérasties assumées dans l’exhibitionnisme provocateur, suivi par la domination délirante sur un appareil d’état qui, quand il ne se consacre pas anticonstitutionnellement (c’est dur à dire mais facile à faire) au service des névroses sadiques de ses mandataires et complices, sert sans scrupule les intérêts de l’étranger. Fusée d’artifice encore, avec l’interpellation d’un pseudo-artiste représentant la pseudo-nation (! ?), vrai malade mental, prédateur hypervirulent gesticulant dans l’hyperimpunité. Terminus sur bouquet final, avec interpellation du cousin de l’homoncule qui sert de doublet au psychopathe accroché aux manettes, pour pédophilie en vaste réseau organisé. Rien que du beau monde ou, les aventures de l’argent très mal intentionné et peut être aussi très mal acquis (?). Exactement le genre de soutient dont a besoin une entité plutôt monstrueuse qui tape l’incruste, engagée au loin, au dépens de la machine à cash à sa pogne, dans l’extermination au grand jour d’un Peuple spolié de sa terre en un long siècle d’acharnements en tous genres. Étourdi et stupéfait, quand même ; on a envie de dire, même si c’est dans une grande poubelle qui sentait déjà mauvais avant :’’ Pitié, n’en jetez plus, ça éclabousse !’’ Bon dimanche...’’