Selon le plus possible d’informations que j’ai pu glaner, le Cardinal Francis-Robert a été un des prélats catholiques des derniers temps le plus attaché à défendre jusqu’au bout ou à protéger du plus possible d’enquêtes le plus de pédophiles notoires parmi ses proches confrères de rang et de classe. En cette matière Bergoglio lui-même a fini par s’impatienter envers lui. C’est grâce à l’aide de prélats particulièrement renommés pour leur pédophilie qu’il a pu gravir les principaux échelons l’ayant mené jusqu’au poste de cardinal "papabile".

Mon propos n’est pas de m’en prendre à l’église catholique romaine comme étant la plus marquée du monde par ce genre d’orientation sexuelle, ce n’est quand même pas le judaïsme loubavitch, l’islam afghan ou l’hindouisme vishnouïte ou pire encore le laïcisme humaniste parisien ou onusien, mais n’empêche qu’à l’intérieur du monde ecclésiastique Prévost coche toutes les cases de corrélation statistique de probabilité maximale, comme par exemple une certaine gauche à peine rosée et très tiède assortie par ailleurs d’une tendance passant pour progressiste à interpréter toutes les crises mystiques en tant que problèmes à confier à la seule psychiatrie pharmacologique. Son absence de toute réaction d’allergie ou de méfiance à la médecine pharmacologique officielle va dans le sens des mêmes corrélations.

Tout d’abord il est d’origine canadienne française de par sa famille et sa vocation religieuse et l’église canadienne-française de jusqu’à la chute de cette religion au Québec, pour presque les mêmes raisons que le jansénisme parisien de la fin de l’Ancien Régime, a été une des pommes les plus particulièrement pourries du panier par ce fléau : partout où le jansénisme a sévi un siècle ou plus il a laissé en héritage une incroyance durable en réaction à sa tolérance pour la pédophilie assortie à la condamnation rageuse des plaisirs de la vie plus normale. Qu’il ait été rattaché à l’ordre augustin, ordre aujourd’hui peu connu hors des milieux de pouvoir hormis pour ses rapports avec l’hérésie janséniste, mérite un examen plus approfondi de la théologie pratique du personnage. Au Québec même son principal contact rapproché a été Mgr. Ouellette, principale vedette locale avérée de la pédophilie religieuse.

De toute façon je suis d’avis que tant que l’église romaine ne sera pas revenue sur les décisions désastreuses prises lors de Vatican II, ses sacrements, ses canonisations et ses ordinations sont nulles et non avenues.