Hormis le chevalier Bayard, il y a aussi Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand, la pièce comme le film avec Depardieu, magistral :
« Peu importe, je me bats ! Je me bats ! Je me bats ! »
En effet : peu importe pour soi que le paradigme social à l’heure présente soit le meilleur ou le pire, ça ne change pas qu’il faille se battre et pas se laisser aller, sinon on se laisse couler, on baisse la garde, c’est la fuite qui devient le réflexe premier et la peur de tout qui l’emporte, vous êtes alors dépersonnalisé.
C’est justement la force obscure de ce système d’arriver à ce but en gouvernant par la peur et en proposant comme unique issue l’Oisiveté, mère de tous les vices, à l’aide d’un désert d’illusions-tentatrices qui ne font surtout pas avancer !
L’inverse serait une conscience-connaissance qui s’acquiert par une praxis individuelle en essayant de repousser ce qu’on croit être ses limites, sur l’unique voie ascendante du Christ-Amour (Dieu est amour), et avec enthousiasme (étym. transport en Dieu), à la Bergerac, qu’on appelle aussi le panache ou esprit français !