Thermomètre des relations raciales aux États-Unis
19 mai 19:18, par Renaud
Aux USA, toutes les communautés arrivent à s’élever socialement à l’exception majoritairement d’une et dont plus personne ne peut blairer et à juste titre, la communauté noire. Comme le disent les américains sur les réseaux sociaux, tel un mantra : "14%-80%, ashamed of nothing, offended by everything."
Les noirs du camp démocrate sont tout simplement insupportable tellement ils jouissent d’une impunité morale toujours plus hors sol alors qu’ils confirment tous les clichés pseudo raciste contre lesquels ils prétendre combattre (c’est le propre de la victimisation, étant donné que c’est une forme de paresse malhonnête, on fini inéluctablement par se vautrer dans l’état le plus bas de notre génétique). C’est comme au dernier SuperBowl où au traditionnel spectacle de mi-temps on a encore eu droit à 20 minutes de pleurnicherie mise en scène avec en plus Samuel Jackson, le gars qui a été portée au firmament par Hollywood et jusqu’à remplacer des personnages blancs comme avec Nick Fury ou Serena Williams qui se vengeait en refaisant son pitoyable pas de danse qui avait été critiqué et où encore une fois, plutôt que de faire preuve d’un minimum d’honnêteté intellectuelle en admettant que c’est de la merde et que ça n’a aucune esthétique, elle avait bien évidemment opté pour la case "wacisme". Les noirs démocrates sont les plus gros taré racialiste au États-Unis, comme avec les arabes et noirs en France, ils utilisent constamment la cartes race victime pour se justifier de tous leur agissements et "réflexion" (si on peut appeler ça une réflexion).
Alors bien évidemment, on sait qu’il y a une communauté avec des gens comme Soros qui aide voir organise la manœuvre à dès fin de guerre raciales et civile mais à un moment donné, quand on te sert une assiette de merde tu n’es pas obligé non plus de la bouffer.
Enfin, bien évidemment, tout comme avec l’affaire Floyd, l’establishment va encore tout faire pour salir la présidence Trump et tenter de le déstabiliser et la communauté noire du camp démocrate reste une éternelle fidèle dans cet exercice tout comme tout ce qui est issus de l’Afrique en France, ’’every single time’’.