L’art de fabriquer des "starés"...
Au départ, il y avait un duo : Fred Testot et Omar Sy. Deux grands dadets rêvant de devenir star du cinéma (pas du théâtre, ça ne rapporte pas assez et il faut beaucoup bosser).
Le Système est bien fait, il sélectionne habilement en fonction de ce que doit bouffer la basse-cours en matière de grosse cul-ture. Ce sera donc Omar-gueule-de-benet qui sera "choisi".
Résultat des sélectionneurs du Grand Divertissement Crétinisant Global : L’un, Fred, fait une carrière discrète mais plutôt talentueuse car travaillée étape par étape grâce à des rôles complexes. L’autre a été propulsé grâce à un rôle caricatural type gentil-noir qui sauve bon gros bourge blanc, recalibré pour le grand benet au sourire d’ado.
Comme tous les con-ditionnés, Mamar est persuadé que pour devenir une icône mondiale, faut s’installer aux stètes. la haine anti France passe toujours par cette posture collabo. Les con-ditionnés adorent toujours ceux qui les vident de leur substance. Mamar n’est pas équipé pour comprendre ça, comme dirait AS.
Mamar revient en France, juste pour faire ses courses et vérifier les compteurs de sa côte artificielle au pays qui lui a pourtant permis de devenir une star-LED. Mais voilà, le Système sait que c’est un acteur très limité, alors il le présente à nouveau comme une victime et là... bingo ! la partie de basse cours qui continue à s’enfermer dans les hangars à projection de propagande fonce sur le chiffon rouge habilement présenté par le merdialand de gôôôôche anti raciste radoteuse à souhait.
C’est ainsi que l’on fait gonfler les soufflés-n’est-pas-joué... mais attention, Mamar... le talent ça se travaille sur une vie entière, pas en jouant les victimes. Quand on en a pas, la LED s’éteint rapidement...