Briansk, l’école des cadavres
12 juin 14:08, par Sedetiam
Sinon, pour être de retour dans mon autre lieu de villégiature, l’on trouve de jeunes Ukrainiens bien vivants et dans la force de l’âge à sillonner la Riviera, au volant de cabriolets ou autres SUV rutilants. C’est l’odeur de l’oseille, mêlée à la lâcheté et aux magouilles que l’on perçoit ici. Rien de comparable avec celle de ceux qui tombent au front et préfèrent mourir face aux Russes que de se retourner contre leurs dirigeants ukronazis et les entités qui les subventionnent. Chacun sa merde : déjà que ces odeurs se font avec notre pognon.
Ici, ce sont les Urgences qui crèvent...
Ce n’est pas Riss et ses comiques qui vont faire un dessin comparatif, là...