Alain Soral : sa réponse au président du CRIF
10 août 10:09, par AnnwnRappel ou, plutôt, « Le saviez-vous ? » : Le Judaïsme a remplacé l’Israélisme qui avait joui d’une extraordinaire faveur à cause de sa haute morale et de la simplicité grandiose de son dogme, résumés dans ces deux mots : la Femme ; le Bien.
Tout cela est remplacé par le Talmud qui discrédite la « race » juive.
Aussi, il ne faut pas confondre les Juifs et les Israélites, comme sans doute le faisaient les Romains, et comme le font encore presque tous les historiens modernes. Les Sémites formaient deux partis en lutte. Les Israélites restèrent toujours séparés du monde juif, qui représentait pour eux l’usurpation du pouvoir religieux ; ils gardaient fidèlement leurs principes théogoniques et leur grande loi morale.
La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle de notre ère. Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. Aussi, c’est à eux que Voltaire fait allusion lorsqu’il écrit : « Les juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. »
NB : « Il n’est pas étonnant qu’un peuple d’esclaves fugitifs, conquérants d’une terre paradisiaque aménagée par des civilisations au labeur desquelles ils n’avaient eu aucune part et qu’ils détruisirent par des massacres, qu’un tel peuple n’ait pu donner grand-chose de bon. Parler de « Dieu éducateur » au sujet de ce peuple est une atroce plaisanterie. Rien d’étonnant qu’il y ait tant de mal dans une civilisation — la nôtre — viciée à sa base et dans son inspiration même par cet affreux mensonge. La malédiction d’Israël pèse sur la chrétienté. Les atrocités, l’Inquisition, les exterminations d’hérétiques et d’infidèles, c’était Israël. Le capitalisme, Israël. Tout est souillé et atroce comme à dessein, à partir d’Abraham inclusivement (sauf quelques prophètes). Comme pour indiquer tout à fait clairement : Attention ! là, c’est le mal ! Peuple élu pour l’aveuglement, élu pour être le bourreau du Christ. »
(Simone Adolphine Weil, La Pesanteur et la Grâce)