Autant j’admire Jean-Marie Le Pen, dont on s’apercevra, mais un peu tard, de ses qualités de visionnaire, autant je me méfie de sa fille, dont l’annonce de tous les chamboulements et autres revirements du FN, ressemblent à s’y méprendre à de la soumission totale à... disons... la Synagogue. (Pour ne pas la citer)
Au risque de paraître machiste, je déclare, en outre, me méfier des femmes en politique, qui pour nombre d’entre elles, ont prouvé que souvent, l’autorité (ou autoritarisme ?) prend le pas sur le bon sens et qui semblent encore plus déconnectées de la réalité, à mesure que leur notoriété (positive ou non) augmente.
Poursuivant ma pensée, jusqu’au bout et toute méchanceté mise à part, j’espère sincèrement que Mme Le Pen ne réunira pas les 500 signatures. Ce qui semble d’ailleurs, se confirmer.
Je me souviens d’un temps, où l’on affirmait que l’électeur préfère toujours l’original, à la "copie". Et je souscris bien évidemment à ce concept !