Synthèse du mouvement révolutionnaire mondial
6 février 2012 03:40, par SinbadÀ tout le monde :-)
Seulement quelques commentaires pour terminer.
La seule chose que j’ai attaqué tout au long de mes interventions, ce sont les droits d’auteurs et le mensonge de la propriété intellectuelle. Le commentaire de M. Livernette sur la brièveté de son ouvrage et le manque de temps de ses lecteurs m’a paru être l’opportunité de lancer cette question sur laquelle je réfléchis et m’interroge dans mes temps libres, depuis un certain temps. Je ne peux ni ne veux nuire à personne ; ce genre de combats et de stratégie ne m’intéresse pas du tout. La seule chose que je souhaite est de contribuer à l’amélioration de la situation avec mes moyens limités, en lançant des idées qui pourront, qui sait ?, être reprises, être améliorées, être une source de réflexion. Et comme beaucoup de gens, j’en ai assez marre d’avoir à me justifier dans des procès d’intentions où un même argument est interprété de façon radicalement opposée et imcompatibles selon les convictions des mes accusateurs (pour les uns, à titre d’exemple, je serais bobo, pour les autres populiste, pour les uns je serais trop logique, pour les autres illogique, etc.) Amusez-vous comme vous voulez à détourner ma pensée, je ne me sens pas ébranlé quant à l’authenticité de ma quête de la vérité.
À ceux qui pensent que je voulais critiquer M. Soral, ou n’importe quel autre auteur auquel ils accordent leur crédit, je les invite à prendre un peu de recul pour évaluer les effets bien réels et bien néfastes de la propriété intellectuelle, laquelle ne sévit pas seulement chez les intellectuels, mais aussi chez les artistes, chez les ingénieurs, chez les biochimistes, chez les généticiens, etc. Si une éventuelle et souhaitable (selon moi) abolition de la propriété intellectuelle avait pour effet de diminuer la production intellectuelle d’un Soral (à titre d’exemple), chose qui ne vas pas de soi comme on pourrait être tenté de le penser, et bien je serais toujours en faveur de cette abolition, et ce non pas car je trouve la pensée de M. Soral inutile, mais bien parce que, au final, les effets réels de cette abolition dans l’ensemble de la société seraient tellement gigantesques et bénéfiques que nous devrions accepter cette diminution [de la production de Soral].