Ce fut une politique réfléchie des anglo saxons de ’décatholiciser’ le Québec.
Politique bénéficiant de l’appui des prêtres catholiques vendus, dans un premier temps.
’Débarrassée’ de cette religion catholique oppressante, la femme pourra ’s’emanciper’. Avoir sa ’carrière". Ah ce mot ’carrière’...Le mot m’ayant le plus interloqué au Québec. À Montréal, n’importe quelle femme, qu’elle soit vendeuse en assurances ou réceptionniste, vous parle de sa ’carrière’, fait des plans pour sa ’carrière’, se concentre sur sa ’carrière’ puis pleure sa mère (c’est pour la rime) quand à 35 ans elle a son condo (appartement acheté) mais pas de mec et encore moins d’enfant. Elle vivote, s’invente des activités, magasine puis remagasine, accumule les chaussures et les déceptions amoureuses.
En France une femme qui me parlait de carrière était soit footballeuse soit casseuse de pierres (même si cela a quelque peu changé je l’accorde).
Démographiquement les résultats furent probants pour les anglo saxons.
Ajoutons-y le multiculturalisme et l’immigration, des médias pires qu’en France (je vous jure que ça existe) à la solde de l’Empire.
Malgré mes souhaits les plus chers, le Québec ne sera jamais souverain. On a détourné la belle province de sa culture. Et dans cette culture se trouvait le catholicisme sur lequel les québécois, aujourd’hui, crachent (j’éxagère à peine).
Finalement, les anglo saxons, maîtres dans le ’diviser pour mieux régner’ (cf leur technique d’esclavagisme), ont mis les vers dans le fruit Québec et ont attendu. Bien plus fructueux que de forcer à essaimer ce peuple (génocider selon Brûlé) comme il l’avaient fait avec les acadiens.
À ce sujet, je trouve que l’histoire des acadiens devrait être contée sur E&R.