La fin des temps selon l’apocalypse chrétienne n’est pas la fin d’un cycle, théorie païenne alchimique.
L’apocalypse n’est pas mystique ; elle ne va pas dans le sens de l’augmentation du mystère. Le langage mythologique est radicalement opposé au langage mathématique, ésotérique.
C’est une défaite de l’empire que l’apocalypse annonce, par division interne.
L’apocalypse énonce un strict pacifisme qui empêche tout plan nationaliste ou patriotique. Un chrétien ne peut choisir deux maîtres. La nation n’est qu’une vieille putain.