L’Inde refuse toujours l’embargo contre l’Iran
25 février 2012 21:11, par salimLA DESTRUCTION DU SYSTÈME D’ÉDUCATION INDIEN
par Kum B. Nivedita
Adapté d’un discours donné sous les auspices du Cercle d’Études
Vivekananda II-T Madras, en janvier 1998
Introduction
À l’époque de la Compagnie des Indes orientales ou par la suite, sous le règne de l’empire britannique, l’esprit des colonisateurs semble avoir été animé par deux motivations : s’approprier les richesses du pays et supporter le « fardeau de l’homme blanc », qui consistait à civiliser les indigènes (terme qu’ils utilisaient pour se référer à l’ensemble des Indiens). Nous verrons de quelle manière, pour atteindre ces deux buts, les Britanniques ont joué leurs cartes avec tellement d’intelligence que, même après cinquante ans d’indépendance, nous continuons à vivre dans un véritable état de stupeur, incapables (et même refusant !) de nous réveiller de l’une des pires hypnoses qui ait jamais été exercée sur une nation tout entière.
Beaucoup d’entre nous ignorent peut-être que l’Inde était le pays le plus riche du monde avant l’arrivée des Britanniques. Alors que leur part des exportations mondiales ne représentait à l’époque que 9%, contre 19% pour l’Inde, la part actuelle de l’Inde n’est plus que de 0,5%. La plupart des étrangers qui venaient en Inde étaient en quête de sa fabuleuse richesse. Ernest Wood, dans un livre intitulé « Un étranger défend notre mère l’Inde », déclare qu’ « au milieu du dix-huitième siècle, Phillimore écrivait que les produits de sa terre nourrissaient des territoires éloignés ». Aucun voyageur ne trouva de pauvreté en Inde avant le dix-neuvième siècle, mais les marchands et les aventuriers étrangers recherchaient ses rivages pour les richesses quasi-fabuleuses qu’ils pouvaient y trouver. « Secouer le sophora » devint une expression consacrée, dont l’équivalent actuel serait quelque chose comme « découvrir du pétrole ».
En Inde, 35% à 50% des terres des villages étaient détaxées et le revenu correspondant était utilisé pour financer les écoles, organiser les festivals dans les temples, produire les remèdes, nourrir les pèlerins, améliorer l’irrigation, etc. La cupidité des Britanniques réduisit la proportion des terres détaxées à 5%. Lorsque des protestations s’élevèrent, ils assurèrent aux Indiens que le gouvernement créerait un département pour prendre en charge l’irrigation, un conseil pour l’éducation, etc.
le rapport est long chercher sur internet le rapport de macaulay. l’inde n’est qu’un allié caché de l’empire