La Commune de Paris (1871) partie XIII
16 mars 2012 20:54, par Marion Sigaut
« A chaque fois que par torrents
Notre sang coule sur le monde,
C’est toujours pour quelque tyran
Que cette rosée est féconde ;
Ménageons-le dorénavant,
L’amour est plus fort que la guerre ;
En attendant qu’un meilleur vent
Souffle du ciel ou de la terre.
Aimons-nous, et quand nous pouvons
Nous unir pour boire à la ronde,
Que le canon se taise ou gronde,
Buvons, (ter)
A l’indépendance du monde. »
Pierre Dupont