Je viens d’avoir une idée :
Et si à notre tour, dès qu’un gosse se prend un headshot à Gaza, dès qu’il y a un massacre, qu’un homme commet un crime odieux ; nous faisions appel à la Shoah ! Pour le caractère innommable de la chose. Tu me tiens par la shoah, je te tiens par ta shoah.
Cela pousserait les cadres de la branche folle inconditionelle sioniste à empêcher la comparaison* -avec toute la passion qui va avec- ce qui, pour tout homme honnête (même certains zombies anesthésiés) serait perçu comme un bug.
Cela aurait peut-être pour effet d’effacer la résonnance de ce mot comme étant un crime de lumière ouvert à tout les superlatifs et qui, par définition ne peut se comparer ; et ainsi lui rendre son simple caractère comparatif de crime odieux, ce qu’il n’aurait jamais du cesser d’être.
Briser l’aspect religieux shoatique pour faire renaître l’idée d’un crime parmis les crimes.
On peut toujours rêver, mais il est tard et l’aspect onirique est présent .
Selon l’interview de R.Prasquier d’il y a 3/4 jours, la photo de l enfant ci-dessus est un faux, du vulgaire photo-ketCh-shop !
*Du style : ’’Je te parle de ma grand-mère, tu me sors le livre de la jungle’’