Stéphane Courtois est à l’Histoire ce qu’Ivan Rioufol est au journalisme : une caricature qui pourrait être drôle si elle n’était mû, au final, par une idéologie visant à renforcer la domination totale des puissances d’argent sur un peuple sans ressort.
Sur Robespierre, le magnifique, il faut lire la biographie que lui a consacrée Henri Guillemin, ROBESPIERRE, POLITIQUE ET MYSTIQUE, toute empreinte de compassion sincère envers la chandelle d’Arras et les "citoyens passifs".