En premier lieu ont peut se demander si le journaliste Thomas Hoffnung ne possède pas lui même une grille de lecture manichéenne qui voudrait que "les puissants derrières leurs vitres fumées" n’ont aucune stratégie de pouvoir et qu’ils sont "puissants" par la simple opération d’un saint esprit plutôt bien disposé à leur égard. A ce degré de "simplicité" qui n’a rien à envier à celui qu’il attribue à José Bové on ne peut que regretter ce constat encore une fois vérifié grâce Thomas Hoffnung "un journaliste qui travaille est une pute, sinon c’est un chômeur" ; citation Soralienne des plus adéquate.